La maladie de Charcot, aussi appelée maladie de Lou Gehrig, est une maladie neurologique qui évolue rapidement. Elle est souvent mortelle car elle touche les neurones responsables du contrôle des muscles volontaires. Plusieurs traitements cliniques ou médicamenteux pour soulager les symptômes sont proposés ou à l’étude mais nous aborderons ici les conseils naturels pour y arriver.
Sommaire
Qu’est-ce que la maladie de Charcot ?
La maladie de Charcot se manifeste plus souvent chez des personnes âgées de 40 à 60 ans. Les neurones moteurs supérieurs et inférieurs ne fonctionnent plus correctement ou meurent, et cessent ainsi d’envoyer des messages aux muscles. Incapables de fonctionner, les muscles s’affaiblissent progressivement et s’atrophient. Le cerveau ne parvient plus à commander et à contrôler les mouvements volontaires.
Comment expliquer la maladie ?
Le stress et l’hyper activité pourraient être à l’origine de l’apparition de la maladie de Charcot. Les personnes qui en sont atteintes ont généralement vécu un stress intense, la disparition d’un proche, un événement violent, ou avoir mené des efforts importants dans le but de surpasser leurs limites. Ces facteurs de stress peuvent conduire le patient à la dépression ou à une fatigue intellectuelle profonde, des éléments déclencheurs de la maladie de Charcot.
Quels sont les symptômes ?
La maladie de Charcot se manifeste par plusieurs symptômes :
- faiblesse musculaire,
- difficultés à bouger les bras, les jambes et tout le corps,
- difficultés à respirer (mise sous assistance respiratoire),
- dépression, problèmes de prise de décision et de mémoire,
- contractions musculaires, crampes,
- troubles de l’élocution,
- difficultés à mastiquer ou à avaler.
Environ 10% des patients atteints de la maladie de Charcot ont une espérance de vie d’une dizaine d’années mais la plupart décèdent d’une insuffisance respiratoire dans les 3 à 5 ans après l’apparition des premiers symptômes.
Toutefois, la maladie de Charcot ne nuit pas aux facultés mentales d’une personne, qui peut toujours voir, sentir, goûter, entendre, toucher, reconnaître. Habituellement, les patients conservent également les fonctions de la vessie et de l’intestin, sauf peut-être dans les derniers stades de la maladie.
Quelles solutions existent ?
Suite à la violence du choc ou de la situation, le malade peut perdre toute envie de vivre, c’est pourquoi il est important que l’entourage soit présent et qu’il le soutienne, en lui apportant des moments de joie et de réconfort. Retrouver le goût à la vie et l’envie de se battre semblent, au vu de l’avancée des recherches scientifiques sur la maladie, le meilleur espoir de sortir de la maladie.
La puissance de l’esprit sur le corps et l’amour donné ou reçu seraient donc les meilleurs traitements naturels pour combattre cette maladie. L’hygiène de vie, alimentaire et physique, est tout aussi importante.
La nutrition peut également aider le malade à lutter contre la fatigue ou les problèmes musculaire :
- évitez de grignoter, de manger en trop grande quantité pour éviter de solliciter trop souvent votre système nerveux,
- lors des repas, mangez régulièrement des fruits et des légumes, riches en antioxydants, en vitamines et en minéraux essentiels,
- consommez du pollen pourra également améliorer les défenses de votre système immunitaire,
- faites des exercices physiques légers pour soulager vos douleurs musculaires (yoga, pilates…)
- mastiquez longuement avant d’avaler pour faciliter la digestion,
- supprimez la consommation de tabac et d’alcool,
- évitez le glutamate (E 620 à E 625) et l’aspartame, mauvais pour le système nerveux.
Mais surtout, faites vous accompagner par un spécialiste. Si besoin, tournez-vous vers les médecines douces.
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