Pendant les fêtes de Pâques, les Français vont dévorer 15 000 tonnes de chocolat. Des œufs, des lapins, des cloches, il y en a pour tous les goûts, et gare à l’indigestion ! Cependant, voici 5 bonnes raisons de déculpabiliser ce week-end. Car oui, mangez du chocolat peut-être excellent pour votre santé, à condition qu’il soit noir à 70 %…
Sommaire
Le chocolat est bon pour le cerveau
Des études ont démontré que manger du chocolat noir au moins une fois par semaine avait un effet bénéfique sur le cerveau. En effet il améliorerait les capacités cognitives de l’individu, surtout en ce qui concerne sa mémoire.
Parce que la chasse aux œufs est un moment magique
La chasse aux œufs est toujours une excellente occasion de passer du temps avec vos enfants. Ils adoreront chercher les chocolats que vous aurez préalablement cachés dans votre jardin ou votre appartement. Ce genre de moment de partage ne justifie-t-il pas à lui seul de dévorer tout ce bon chocolat durement chassé ?
Pour les petits sportifs comme les grands, le chocolat de Pâques est votre allié
Une étude publiée en 2011 dans la revue European Journal of nutrition le confirme. Si vous mangez quelques carrés de chocolat noir à 70 % quelques heures avant de pratiquer une activité sportive, vous limiterez les dommages musculaires liés à l’effort physique. Le chocolat est également riche en magnésium, qui aide les muscles à bien fonctionner et réduit les crampes !
Pour le transit intestinal, il n’y a rien de mieux !
Pour 100 grammes de chocolat noir à 70 % de cacao, vous trouverez environ 15 grammes de fibres. Or, ce sont ces fibres qui vous aident à améliorer votre transit intestinal. De plus, le chocolat contient ce que l’on appelle des polyphénols. Ces derniers ont la capacité de renforcer la muqueuse intestinale.
Parce que c’est bon pour le moral
Le chocolat est un antistress naturel, il vous aide à vous détendre ! De plus, il lutte contre la fatigue en vous faisant faire le plein d’énergie. Il paraitrait même qu’il ralentit le vieillissement et améliorerait la tension artérielle. Que demander de plus ?
