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4 bonnes raisons de pratiquer le « queenning »

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Crédits : IStock / stock_colors

Le « queenning » vient de « queen » qui en anglais signifie reine. On ne parle pas ici d’aristocratie, mais de pratiques sexuelles. Il s’agit d’un art ancestral pratiqué par les femmes de classe supérieure afin d’obtenir les faveurs sexuelles de leurs subordonnés par simple contact buccal sans risque de tomber enceinte si elles étaient mariées et sans pénétration pour les femmes vierges. Le principe est simple : vous vous asseyez sur votre partenaire, comme sur un trône, et vous profitez des plaisirs de sa langue. Découvrez 4 bonnes raisons de pratiquer le « queenning ».

1. Varier les plaisirs

Cette position sexuelle permet de découvrir de nouvelles sensations et d’explorer des terrains peut-être jusqu’alors inconnus. Changez des traditionnels cunnilingus et fellation et cassez la routine des préliminaires habituels. Le « queening » est une autre façon de pratiquer le sexe oral, en étant un peu plus extrême qu’un classique 69.

2. Orgasmes décuplés

La stimulation du clitoris est ce qui fonctionne le mieux chez la plupart des femmes pour atteindre l’orgasme. Dans cette position, les sensations sont décuplées. Votre partenaire peut s’occuper tant de votre clitoris que de votre vulve ou de votre anus et ainsi décupler les sensations de plaisir. La position vous permet d’être maître des mouvements de va-et-vient et de doser juste ce qu’il faut pour atteindre l’extase.

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© C. Scott / Pixabay

3. Inversion des rôles

Cette position sexuelle permet d’inverser le schéma classique de l’homme dominant la femme. Une fois assis sur le visage de votre partenaire, c’est vous qui contrôlez et dominez. Vous pouvez également guider votre partenaire dans ses coups de langue pour qu’il soit le plus précis possible et fasse ce dont vous avez envie sur le moment. La maîtrise des événements est une sensation qui peut faciliter d’autant la montée d’un orgasme.

4. Un pas vers la BSM ?

Dans le milieu du BDSM, on appelle cette position le « Face-sitting ». C’est une traduction bien plus littérale, mais qui se résume à la même chose. Il s’agit d’une position particulièrement appréciée par les partenaires soumis qui aiment que leur moitié prenne le dessus au lit. Toutefois, la pratique peut-être plus violente dans le BDSM et les va-et-vient moins sensuels que pour un « queenning ».

Sources :